Kevin
Médium
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Face à vos divers soucis quotidiens, je peux bien vous aider… Lire la suite
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A la recherche d’une bonne voyante qui sait manipuler… Lire la suite
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Je me présente Joseph, je suis un médium expérimenté… Lire la suite
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Je suis Benedicte et j’exerce depuis longtemps… Lire la suite
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Je me nomme Ken et je suis un tarologue… Lire la suite
On dit que le mois de mars est fou et cette année, nous l’avons réalisé plus que jamais avec le coronavirus.
C’est tellement fou qu’il ne permet pas aux gens de sortir de chez eux, ce qui les amène à se demander « pourquoi ? ». C’est l’une des nombreuses questions que nous nous posons et auxquelles nous ne pouvons pas toujours répondre.
Le coronavirus est un virus qui provoque les symptômes courants de la grippe, tels que le rhume, la toux sèche et la fièvre, mais qui, dans les cas plus graves, peut entraîner des difficultés respiratoires (pour plus d’informations, voir le site du ministère de la santé).
Les conséquences de ce virus sont nombreuses, la plus difficile étant l’isolement. Le slogan qui se dépeuple depuis des jours sur la toile de « Je reste à la maison », ou « Distants mais unis », est un message à fort impact émotionnel sur nous, difficile à métaboliser.
Dans le premier, on nous demande de nous enfermer entre les murs de notre maison, ces mêmes murs dont nous voulions nous échapper il y a deux semaines, et l’autre nous oblige à éviter tout contact avec les personnes avec lesquelles nous avons partagé des expériences et avec lesquelles nous avions peut-être aussi commencé à partager nos sentiments.
La fermeture et la distance font apparaître des émotions de tristesse, de peur et de colère. Des émotions qui prennent le dessus et que nous pouvons difficilement gérer maintenant, surtout si nous sommes seuls à la maison.
En tant que telles, ces émotions doivent être connues, explorées et gérées. Cette découverte progressive pourrait nous amener à faire un premier pas en avant, et nous pourrions commencer par nous demander : qui suis-je ?
Une question apparemment banale mais à laquelle nous avons du mal à répondre. Ce faisant, nous nous donnons la chance de nous découvrir de manière authentique, nous nous permettons de connaître et de redécouvrir notre maison et nos intérêts également. Nous nous donnons du temps, qui est exclusivement le nôtre et celui de personne d’autre. Nous nous donnons le temps de comprendre qui nous voulons vraiment à nos côtés dans nos vies, qui nous aimons et de qui nous devons nous préserver. Nous nous donnons la possibilité de penser d’abord à nous-mêmes et ensuite aux autres, en ne nous mettant plus de côté. De cette manière, nous découvrons ce que signifie être bien dans sa peau.
La difficulté de franchir cette étape conduit la personne à demander de l’aide au psychologue, personnage très redouté car : » ils soignent les fous » mais tout aussi recherché car ils accompagnent les personnes vers le chemin de leur propre bien-être.
Dans la campagne lancée par le Cnop, on trouve une phrase très explicative de cette difficulté : n’ayez pas honte de demander de l’aide.
La honte est une émotion de peur, elle nous conduit à faire les « pippe » classiques qui ne sont pas conformes à la réalité que nous vivons.
En ces temps, le premier contact qui peut atténuer cette peur peut être un appel, un courriel, un message, un moment qui représente cette réassurance dont nous ressentons le besoin. Que vous ayez besoin de nous pour l’amour ou pour retrouver un objet perdu !